Langue officielle de 53 pays, l’anglais est plus parlé que le français. Cette langue n’est donc pas une simple option à ajouter en bas du Curriculum vitae. C’est une compétence que les recruteurs exigent. En effet, de nombreux secteurs d’activité l’utilisent quotidiennement. Heureusement, c’est l’une des langues qui peuvent s’apprendre aisément et de différentes manières.
Apprendre l’anglais parce qu’elle est exigée dans de nombreux secteurs d’activité
Seuls 4% des pages sur Internet sont en français. C’est un bien faible score comparé aux 80% contenus en langue anglaise. Ne pas la comprendre priverait l’internaute d’une porte d’accès à un grand nombre d’informations. Sciences, technologies, finances et bien d’autres secteurs sont essentiellement en anglais. Les chercheurs d’emploi l’utilisent exclusivement pour leurs publications. Dans le commerce, la médecine ainsi que l’industrie cinématographique, c’est aussi le principal outil de travail. Il est aussi impossible de travailler dans l’aviation, la marine ainsi que la diplomatie sans cette langue. Bien connaître la culture anglo-saxonne constitue un réel avantage. Cela élargit la possibilité d’embauche internationale. C’est un véritable tremplin de carrière. Outre les États-Unis et la Grande-Bretagne, la Chine et tous les pays d’Asie exigent que les expatriés parlent couramment cette langue. L’Australie, l’Afrique du Sud et pratiquement toutes les destinations qui font rêver dans le monde veulent que les expatriés parlent anglais. Pour ceux qui veulent intégrer les entreprises multinationales basées en France, l’anglais reste un critère de différenciation. Le recruteur accorde une grande importance à ce détail. Il ne manque généralement pas de le confirmer à l’entretien. Ceux qui parlent la langue anglaise gagnent nettement plus que les autres. C’est un fait indéniable puisque les statistiques officielles parlent d’une différence de salaire d’au moins 18%. Avec une expatriation vers un pays anglo-saxon, le revenu passe du simple au double, voire le triple dans certains domaines.
La langue de Shakespeare s’apprend assez rapidement et de différentes manières
Les entreprises n’exigent pas que les employés parlent et écrivent couramment l’anglais. La plupart du temps, quelques bonnes notions suffisent. Par ailleurs, les spécialistes estiment qu’avoir un niveau linguistique trop élevé pourrait être problématique. Le milieu professionnel a choisi cette langue pour sa simplicité. Pour apprendre l’anglais, la méthode simple consiste à apprendre par cœur le vocabulaire indispensable à la profession. Dans certains secteurs d’activité, connaître quelques mots pourrait suffire. Il est aussi possible de se former sur un métier en particulier. Dans ce cas, pensez à apprendre l’anglais professionnel grâce à un stage. Certains établissements proposent par exemple des cours rapide aux stagiaires en formation pour bien écrire un email ou répondre au téléphone. La formation dans un call center se fait en quelques jours. Ces centres d’appel ont des méthodes pragmatiques pour aider à parler avec le bon accent. Pour les personnes qui visent un recrutement à l’international, prendre des cours intensifs est la meilleure option. Il faut notamment préparer un test TOEIC. C’est un système d’évaluation utilisé par 14 000 entreprises à travers 150 pays dans le monde. Pour parler l’anglais chez soi, il faudrait penser comme un anglo-saxon. L’immersion totale dans la culture britannique ou américaine peut ainsi aider. Vous pouvez pour ce faire regarder essentiellement des films en version originale et vous familiariser avec les médias britanniques ou américains. Good luck !