Spécialisée dans les soins à pour les bébés, la puéricultrice endosse également le rôle d’infirmière, mais aussi d’éducatrice. Diplômée d’ état, elle a la possibilité d’exercer son métier dans divers centres. Par moment, elle est confondue avec l’assistante maternelle ou l’auxiliaire de puériculture.
À quoi consiste le métier de puéricultrice
Travaillant la majeure partie du temps dans une maternité, la puéricultrice se veille à la bonne santé des nouveau-nés et collabore avec la sage-femme et le pédiatre. Il lui incombe d’effectuer les premiers examens des bébés, décide de la meilleure nutrition pour eux et s’occupe de leur toilettage. Étant en connaissance de cause, elle peut apporter de conseilles avisés aux jeunes mamans inexpérimentées. Jouant un rôle important dans le relationnel au sein d’un hôpital, sa formation lui permet également de faire des pansements, de poser des perfusions, de distribuer les médicaments et de surveiller l’application des traitements. Elle peut aussi exercer dans les centres de protection maternelle et infantile ou les crèches.
Quelles études ou formations pour devenir Puéricultrice ?
La pratique du métier de puéricultrice exige la possession d’un diplôme d’État de puériculture (DEP). Pour avoir ce dernier, il est obligatoire d’être titulaire d’un diplôme d’État de sage-femme ou d’infirmier et être admis au sein d’une école de puériculture. L’équivalence du DEP est actuellement le bac + 4, mais d’ici quelque temps cela peut valoir le bac+5.
Il existe une trentaine d’écoles privées agréées par l’état sur tout le territoire français pour accueillir toute personne susceptible de s’intéresser à ce métier valeureux. Pour ceux qui réussissent le concours d’admission, des études durant douze vingt-quatre ou vingt-sept mois les attendent.